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Introduction

Une société transformée

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Aujourd’hui, tout semble possible grâce à Internet. Les distances n’existent plus et le partage et la communication sont permanents. Plongée dans un amas de nouvelles technologies, on qualifie la société de « digitalisée ».

Annexe 3

Mais qu’est-ce que ça veut dire ?

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La digitalisation de la société, nous la définissons comme une nouvelle ère où une très grande partie des individus a recours à l’utilisation des nouveaux outils engendrés par l’arrivée d’Internet comme le web, les smartphones, les réseaux sociaux. L’ampleur du phénomène est telle, qu’elle a fait de lui un nouveau mode de vie : selon une étude de Thomas Coëffé, Chef de projet chez Le blog du modérateur, il y a 4,12 milliards d’internautes, soit 54% de la population mondiale et 3,36 milliards d’inscrits sur les réseaux sociaux, soit 44% de la population mondiale en 2019.

Dans ce contexte de mutation de la société engendrée par la digitalisation, nous assistons depuis quelques années à une émergence des nouvelles technologies d’assistance physique et autres services d’automatisation des tâches. Ces innovations, bien que séduisantes, tendent vers une inactivité des individus jusque dans leurs vies quotidiennes. La digitalisation offre de nouvelles opportunités dont certains ont su profiter, mais provoque également un comportement parfois absurde sur l’ensemble des générations.

Ces innovations qui nous changent la vie

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De nouveaux projets fleurissent chaque jour, les uns plus révolutionnaires que les autres. Parmi eux, nous avons choisi de vous présenter les dispositifs d’assistance vocale et de réalité augmentée.

Les assistants vocaux

Google et Amazon, les deux géants du web étant sur tous les plans, il n’est pas étonnant de les voir débarquer sur ce nouveau marché. Les deux géants, tentés d’avoir une longueur d’avance sur les toutes les innovations, ont décelé dans le comportement des individus une opportunité : nous rêvons tous de rester assis bien confortablement sur notre canapé pendant que les tâches ennuyeuses s’effectuent sans le moindre effort de notre part … Grâce aux assistants vocaux, Google et Amazon laissent les gens y croire. Et soudain, il n’est plus nécessaire de se lever pour aller éteindre la lumière que l’on a oubliée, de calculer combien font 16x12, ou encore de se rappeler quel est son prochain rendez-vous de la semaine !

Les essayages virtuels

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« Miroir, mon beau miroir… » by Amazon

Une fois de plus, Amazon est un des premiers acteurs économiques à miser sur ce concept en y déposant un brevet en 2018. Rendu possible grâce à la réalité augmentée, l’essayage virtuel pourrait bien donner un véritable coup de jeune aux miroirs et faire grimper - encore plus - le taux de consommation en ligne !

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Sneaker Fit, by Nike

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Tout comme Amazon, Nike va lancer Sneaker Fit, une application de réalité augmentée pour essayer les chaussures sans se déplacer.

Nos meilleurs ennemis ?

Les réseaux sociaux

La puissance du web et du digital est telle qu'elle s’est faite une place à part entière dans notre société. À l'heure actuelle, tout le monde a intégré cet outil de communication dans son quotidien. En effet, nous sommes tous devenus adeptes des réseaux sociaux et de la Toile en général quel que soit notre âge. Oui, nous faisons des "pauses Facebook", passons des heures à regarder des chatons sur Instagram et "Googlons" tout et n’importe quoi puisque « Google est notre meilleur ami ! ». Si les anciennes générations commencent à s'y intéresser, les plus jeunes, surnommés "Digital Natives" baignent dans cette technologie dès leur naissance. 

 

Voir une illustration d'un "Digital Native" en Annexe 5

Annexe 5
Annexe 4
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Les médias sociaux

Autant les appeler par leur vrai nom !

Tellement ancrés dans votre vie, on en oublierait presque leur véritable nature. Afin de nous faire une opinion de ce qu'ils représentent, nous avons posé la question suivante à une dizaine de personnes de notre entourage : "Pour toi, c'est quoi un réseau social ?" Sans surprise, les réponses à ce petit test s’éloignent de la réalité. En effet, aucun de nos interrogés ne semblent avoir conscience que les réseaux sociaux ne sont autres que des médias.

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Les réseaux sociaux ont véritablement transformé le web. Selon le site de l'agence Dix-Katre dans son article "Comprendre ce que sont les médias sociaux", la possibilité d’intéragir avec une communauté de plusieurs personnes a fait émerger ce que l'on appelle le web 2.0, en opposition à la première phase du web où seuls des sites Internet classiques sans interactivité avec l’internaute existaient. Les médias sociaux eux, regroupent l’ensemble des outils (blogs, forums, réseaux sociaux, wiki, etc.) qui permettent à l’internaute :

Plus largement, c’est une nouvelle vision d’Internet qui revient à considérer l’internaute comme acteur et partie prenante de l’information.

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De réagir à une information, en déposant des commentaires ou en cliquant sur « J’aime »

De créer lui-même facilement de l’information

De la rediffuser et de la partager facilement avec d’autres internautes

Annexe 6

Les réseaux sociaux font donc partie des médias sociaux, dont le plus connu est Facebook. Mais un média, qu'est-ce que c'est déjà ? Il représente tout simplement un moyen de diffusion d'informations en masse. Tout comme la télé, la presse, l'affichage, la radio et le cinéma, les réseaux sociaux sont donc un moyen de diffuser de la publicité. Aussi aujourd'hui, il est à se poser la question si l'on ne trouve pas davantage de contenu commercial que de divertissement ... 

Contrairement à ce que la plupart des gens pensent, les réseaux sociaux ne servent donc pas à partager la photo de son nouveau maillot de bain, de son animal de compagnie ou encore de son plat préféré qui, soit disant passant, fait une très belle promotion au restaurant ! En y réfléchissant bien, nous, en tant qu'individu, sommes effectivement au cœur de l'information en ayant la possibilité de la créer. Ainsi, sans nous en rendre compte, participons activement à l'objectif premier des réseaux : faire de la publicité.

Annexe 7

Si nous reprenons notre petit sondage, les créateurs ont su leurs donner une belle image : bien que notre échantillon soit minime, nous sommes en droit de penser que la plupart des individus n'a pas conscience qu'ils s'agit de médias, mais d'une plateforme dédiée aux échanges et au divertissement. Si amusante que, selon Siècle Digital, site de référence pour les professionnels du numérique, nous passons 5 ans et 4 mois de nos vie sur les réseaux sociaux.

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Réseaux sociaux et comportements

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Prendre une photo #food sur Instagram 

Vous avez probablement eu l'occasion d'observer ce nouveau rituel plutôt étrange, celui qui consiste à prendre en photo son plat, tout en vous interdisant de toucher au vôtre avant d'obtenir le cliché parfait. Nous avons déniché une vidéo humoristique réalisée par la société WongFu Productions, qui illustre parfaitement les dérives de ce nouveau concept. 

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images et vidéo issue du compte Instagram https://www.instagram.com/dirtyboneslondon/

Nous avons également découvert un restaurant, le Dirty Bones qui se trouve dans le quartier de Soho à Londres, où un "Instagram Pack" est mis à la disposition des clients pour que chacun puisse prendre la meilleure photo de plat et la poster sur le réseau social. Tout est prévu, un chargeur, une perche à selfie, un trépied, un objectif pour smartphone et même une lumière LED. C'est simple de la décoration à la carte, tout est instagrammable !

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image issue du compte Instagram https://www.instagram.com/stephaniedurant/

La vie de rêve ...

Autre comportement significatif des réseaux sociaux : dévoiler sa vie jusque dans les moindres détails, prendre une photo et la recommencer encore et encore jusqu'à ce qu'elle soit parfaite, et surtout montrer seulement ce l’on veut et en particulier ce qui est susceptible de faire saliver nos amis virtuels. Paysages paradisiaques, couple parfait et vacances de rêve, voilà que ce l’on voit passer en quasi-permanence sur nos timelines Facebook et Instagram.   

En effet, cette fâcheuse tendance s’est installée sur les réseaux sociaux, principalement sur Facebook et Instagram. Cette surenchère du bonheur, aussi réelle soit elle, n’est autre que le reflet du sens que les gens souhaitent donner à leurs vies : une vie parfaite et sans défaut qui impressionne les autres, et peut-être même un peu trop. En effet, cette vie idyllique et d’apparence accessible à n’importe qui est aujourd’hui enviée par une multitude de personnes, particulièrement au sein de la jeune génération.  

Je découvre

“Depuis l’arrivée de Facebook et d’Instagram, j’ai compris que tout le monde ne montre de sa vie que ce qu’il veut bien. Sur Instagram, (…) tu n’as que des moments de vie joués. Il faut montrer au plus grand nombre que ta vie est plus cool que celle des autres. (…) En fait, t’as même plus le droit de ne rien faire tranquillement chez toi tellement les autres se chargent de te montrer qu’ils sont en train de vivre un moment génial… et pas toi.”

Nathanaël Rouas, extrait de son livre Le bomeur, 2014. 

Je découvre
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D'ailleurs, ces Instagrammeurs sont prêts à tout pour obtenir le cliché parfait !

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Devenus de véritables personnalités sur la Toile, ces stars des réseaux sociaux veulent impressionner leur communauté. Et pour cela, ils sont littéralement prêts à tout ! Navigant sur des comptes Instagram de Road Trip, nous avons fait la découverte de Lolo & Wes, un jeune couple parti en Australie cette année. Déterminés, ils n'hésitent pas à passer plusieurs heures à prendre la même photo et à se mettre en danger pour prendre ces fameux clichés.

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Annexe 8

image issue du compte Instagram https://www.instagram.com/levoyagedeloloetwes/

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En poussant nos recherches un peu plus loin, nous nous sommes même aperçus que selon une enquête publiée dans Le Journal of Family Medicine and Primary Care259 personnes sont décédées en voulant prendre un selfie entre octobre 2011 et novembre 2017. Des "No selfie zone" sont instaurées en Inde, et une campagne de sensibilisation contre l'utilisation du selfie a été mise en place par la police russe en 2016.

Addiction au smartphone

Réseaux sociaux, jeux, Internet et autres applications mobiles qui nous rendent accros

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Le smartphone est devenu un outil qui facilite la vie. Utilisé quotidiennement par le monde entier, il est désormais indispensable pour la majorité des gens. Selon l’étude Baromobile 2018, 98 % des français de 15 à 38 ans s'y connectent tous les jours, et ce pendant 2 heures et 16 minutes en moyenne. Sortir son téléphone pour obtenir une information est devenu un réflexe, tout comme le besoin d'être connecté en permanence. 

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Mais que faisons-nous sur notre smartphone ? 

Réseaux sociaux, applications bancaires, d'actualité ... Il semblerait que les mobinautes se connectent à la moindre occasion. Tellement simple à utiliser, le chemin vers l'information souhaitée est très court et le besoin de s'informer sur n'importe quel sujet est bien présent. La diffusion de contenu en masse interpelle et il très simple d'y accéder. De ce fait, il est possible de passer plusieurs minutes voir des heures sur un sujet qui ne nous intéresse que très peu. Vaincre l'ennui et se détendre en se laissant guider par le contenu qui nous est présenté seraient également des raisons de rester connecter un long moment, notamment chez les jeunes. 

Les jeux addictifs

Nous pouvons trouver toutes sortes de jeux sur mobile, et ils représentent une des principales causes de la dépendance aux smartphones. Aujourd'hui, l'App Store compte plus de 2 millions d'applications dont dix jeux mobiles très populaires qui ont été téléchargés 70 millions de fois en France entre juillet 2010 et mai 2018. Selon les chiffres publiés sur Le Parisien, arrive en première position en 2018 le célèbre jeu Candy Crush Saga, suivi de Subway Surfers et de Clash of Clans. 

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Aujourd’hui, nous vivons dans un nouveau monde. Un monde connecté, où tous les individus créent, diffusent et

partagent de l’information. Même si nous ne pouvons que constater le progrès de ces nouvelles technologies, nous sommes

en droit d’en contester certains qui, selon nos observations, provoquent des répercutions importantes voir dangereuses

sur l’ensemble de la société.  

Une société digitalisée

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Assistants vocaux, aspirateurs robots, dispositifs d’essayages virtuels et autres outils de substitution : autant d’innovations qui nous facilitent la vie … Mais nous rendent-elles vraiment service ? Selon nous, la finalité de ces nouvelles inventions n’est aucunement de nous faire gagner du temps, mais bien d’alimenter la paresse qui règne en chacun de nous. Aujourd’hui, il semblerait qu’éteindre la lumière à l’autre bout de la pièce devienne un effort insurmontable, et cela les entrepreneurs en quête de nouveaux besoins l‘ont bien compris. 

Nous pouvons désormais qualifier la société d’assistée, à la recherche constante non pas d’outils facilitateurs, mais capables de réaliser tout ce qui est possible de faire à sa place. Et nous ne croyons pas si bien dire, quand on s’aperçoit que Google a déjà dépensé au moins 1,1 milliard de dollars dans la voiture autonome. Parce que oui, c’est ennuyeux de conduire …

Les réseaux sociaux ont également une part de responsabilité dans le comportement des individus que nous qualifions de réellement absurde. Bien qu’ils soient enrichissants grâce aux échanges et à l’interaction sans limite, ils sont également responsables de profonds mal-être chez certaines personnes. Comme vu précédemment, la tendance de « surenchère de bonheur » se répand de plus en plus. Ce phénomène, influencé par les célébrités comme l'illustre cette image de la famille Kardashian, crée un sentiment d’insatisfaction de sa propre vie bien qu’elle soit tout à fait acceptable. Les gens se comparent entre eux, comme s’il y avait quelque chose à gagner. Nous pensons que cette compétitivité virtuelle nuit profondément aux personnes isolées ou influentes comme la jeune génération, et tend vers une tendance égocentrique et narcissique de la société.

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De manière plus globale, Internet offre la possibilité à quiconque de s’exprimer en toute simplicité. Bien qu’il existe des restrictions, elles sont impuissantes face aux propos que nous constatons sur le web. Aujourd’hui, il est possible de tout commenter, comparer, et noter. Cependant, nous sommes forcés de constater que les gens s’expriment davantage pour manifester leur mécontentement que leur satisfaction. De ce fait, Internet et les réseaux sociaux s’apparentent à un véritable déversoir de haine et de méchanceté, en particulier en ce qui concerne des critiques physiques.  

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Je m’occupe de 24 élèves en classe de CM2. 18 ont une tablette personnelle à la maison sur laquelle ils passent leur temps à jouer à des jeux. Ils me confient même s’endormir avec, parfois jusqu’à plus de minuit. Mais c'est en classe maternelle que nous observons le plus de troubles : 21 enfants de 3-5 ans possèdent une tablette sur 25. En classe, les petits et grands ne parviennent pas à se concentrer et ne savent plus comment jouer dans la cour. Je m'inquiète pour les générations à venir (...)

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Marion, maîtresse

Enfin, nous clôturerons ce chapitre par l’impact des nouvelles technologies sur la culture, l’orthographe et le mode de vie des individus. Les troubles causés par leur utilisation excessive, en particulier chez les enfants et adolescents sont bien réels et inquiétants. Comme vu précedemment, les jeux addictifs ont également une part de responsabilité dans la dépendance au smartphone chez les jeunes. Leur utilisation plusieurs fois par jour devient un besoin, créé par le système du jeu qui a bien compris cette frustration causée par l’impossibilité de jouer durant un certain nombre de minutes. Ces jeux et autres applications divertissantes, de plus en plus de parents les considèrent comme épanouissants pour leurs jeunes enfants. Un constat inquiétant – selon nous -, comme nous le confirme Marion Courat, professeur des écoles.

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Des nouvelles opportunités

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Que certains ont su saisir

Les nouvelles technologies ont, vous l'aurez compris créé une nouvelle société qui exprime aujourd'hui de nouveaux besoins. La recherche perpétuelle de confort amène plusieurs startups à tenter d'y répondre, comme les services de livraison de nourriture à domicile. Le digital lui, apporte également son lot d'opportunités grâce aux évolutions de son utilisation. De nombreuses startups que nous qualifions de "Pure Player" (entreprise qui exerce uniquement en ligne) ont vu le jour ces cinq dernières années, exerçant uniquement sur Internet, et particulièrement les sites web.

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Deliveroo, Uber Eats, Just Eat, Allo Resto ...

Pionniers de la livraison de plats préparés, ces startups ont su tirer profit des opportunités qui se sont présentées à eux. Au départ réservé aux pizzas, hamburgers et sushis, le secteur de la livraison à domicile s'est aujourd'hui étendu et ça marche : selon le cabinet spécialisé NPD Group, le marché a représenté un volume d'affaires record de 1,7 milliard d'euros en 2016.

Axeptio, l'expert de la protection des données

Parmi les startups "Pure Player", nous avons choisi de vous présenter Axeptio. Axeptio propose à ses clients un outil externe et autonome qui s’intègre sur tous les sites pour recueillir les consentements de leurs internautes de manière sécurisée et conforme. En choisissant Axeptio, les mentions légales sont conformes et mises à jour, garantissant aux clients une conformité totale avec le nouveau Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD). De plus, la startup propose une approche ludique dans le consentement des cookies, afin d'instaurer une relation de confiance dès la venue des premiers visiteurs. Axeptio illustre parfaitement le fait de saisir les opportunités créées par le digital.

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gif issue du site https://www.axeptio.eu/

Nous sommes aujourd'hui face à une société totalement transformée : assistée, égocentrique, parfois même stupide. La transformation digitale, bien qu'elle constitue une aubaine pour les organisations, ses effets sur la majorité des gens sont discutables. Nos recherches nous ont permis de reconstituer l'histoire de la communication, la naissance du métier de communicant, d'identifier les nouveaux outils tels que les réseaux sociaux, et ainsi établir l'état des lieux de la situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd'hui : tout est dématérialisé afin de faciliter voire assister la vie de chacun, dans le but d'obtenir la même finalité d'une tâche sans avoir fait le moindre effort.

 

Demander aux assistants vocaux d'éteindre la lumière devient alors un réflexe, tout comme faire nettoyer son logement par un aspirateur robot, se faire livrer son repas plutôt que de se rendre au restaurant, acheter sur Internet sans avoir à se déplacer, écouter son titre musical préféré ou regarder le film que l'on a choisi sans être allé acheter le CD, récupérer ses courses sans avoir été les faire ... tout ceci illustre parfaitement les nouvelles innovations d'aujourd'hui qui se nourrissent de la paresse et des nouveaux besoins des individus. 

La suite

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